Le site courrierinternational.com nous apprend le 8 février 2017, qu'en réalisant Listen, une histoire d’amour entre un preneur de son et une jeune femme dans le coma, "le réalisateur libanais Philippe Aractingi (Sous les bombes, Héritages) craignait surtout l’acharnement de la censure de son pays contre les scènes intimes du film."
Pourtant, alors que le cinéaste se préparait à se voir reprocher l'érotisme de certaines scènes, la censure a pris une autre direction. Celle d'une tache noire remplaçant sur l'écran l’apparition furtive d’un religieux druze. Un moindre mal pour le cinéaste, qui risquait de voir initialement son œuvre interdite de projection à Beyrouth.